Sweetery a dû m'entendre la regarder et s'est arrêtée brusquement alors que je contemplais son corps et sa chatte incroyables, une peur qui m'a envahi lorsque la poupée a commencé à rire. J'ai fait un pas en arrière, visiblement déçu. Je me suis sentie très différente lorsque j'étais dans mon lit à la maison, avec votre partenaire de jeu devant moi, un homme aimant dans son caleçon sous ma couette. Peut-être que la poussée d'adrénaline que j'ai ressentie cette nuit-là à l'établissement s'était dissipée, remplacée par le plaisir sadique que j'avais ressenti la première fois que j'ai joué à la poupée. "Qu'est-ce que je suis censé faire maintenant, ma chérie ? Je ne voulais pas te faire jouer, mais comment puis-je m'en empêcher", me demandiez-vous alors que je me tenais devant elle. Je suis retourné à sa crinière et j'ai regardé tes seins guilleret, des seins épaissis auxquels ma propre érection semblait vouloir avoir accès. Tu as mis tes bras autour de moi, me regardant dans les yeux. La sensation de te tenir contre ta poitrine était plus forte que je ne l'avais jamais ressentie auparavant, et je me suis appuyé sur ton contact. Tes doigts ont caressé mes côtes, m'envoyant des frissons le long de la colonne vertébrale. Je gémissais fort, et je rendais l'action par un gémissement. Tu m'as embrassée, en me tenant la tête et en me tenant comme si tu essayais de me faire jouir sur tout ton beau corps. Je me suis penché sur ton lit, t'embrassant si gentiment. Tes lèvres étaient aussi douces qu'une sucette. Les lèvres douces étaient satisfaites de moi, je t'imaginais en train de dire. Tu as fermé les yeux et tu m'as embrassé de plus en plus fort. .
